La violence basée sur le genre (VBG), appelé aussi violence sexiste,est un terme générique désignant tout acte préjudiciable perpétré contre la volonté d’une personne et fondé sur les différences socialement attribuées (c’est-à-dire le genre) entre les hommes et les femmes. Il s’agit d’actes qui infligent des dommages ou des souffrances physiques, sexuels ou mentaux, de menaces ainsi que d’actes, de coercition et d’autres privations de liberté. Ces actes peuvent se produire en public ou en privé. En voici quelques exemples :

La violence sexuelle, y compris l’exploitation, les abus et le harcèlement ;
Le mariage forcé et précoce ;
La violence domestique et familiale, qui peut être physique, émotionnelle, psychologique ou sexuelle ;
pratiques culturelles et traditionnelles néfastes, telles que la mutilation génitale féminine/excision, les crimes d’honneur et l’héritage des veuves ; et
le refus de ressources ou d’opportunités, comme l’éducation.

Quelques aspects qui peuvent causer de la violence sur les genres

L’abus de pouvoir.
La discrimination et le harcèlement.
Les frustrations accumulées.
Les problèmes de santé mentale.
Addictions.

Quelles sont les conséquences qu’entraînent la violence basée sur le genre ?

Les violences basées sur le genre peuvent avoir de très lourdes conséquences pour la santé des femmes et des jeunes, telles que les blessures physiques, la dépression, les douleurs chroniques, les maladies sexuellement transmissibles, les grossesses non désirées, les risques accrus d’infection au VIH et le décès.

Quelles sont les solutions de la violence basée sur le genre ?

Les réponses apportées à la violence fondée sur le genre doivent assurer :
une approche centrée sur la victime ;
une accessibilité pour toutes les victimes de cette forme de violence ;
la confidentialité et le respect de la vie privée des victimes et des rescapé. …
la sécurité et le bien-être des victimes / rescapé.

Qui sont les victimes de VBG ?

Les personne âgées de moins de 20 ans et celles âgées de 60 à 70 ans et plus sont les moins touchées par les VBG. Tout comme dans les ménages, en milieu profes- sionnel, les femmes demeurent les principales victimes des VBG. Ce sont 16,7% des femmes qui déclarent être victimes de violences sexuelles au travail.

Comment prévenir et réduire la VBG ?
Les programmes d’émancipation sont un moyen de renforcer l’estime de soi et l’autonomie des groupes de population les plus exposés au risque de la violence. Promouvoir l’éducation à l’égalité de genre et l’éducation aux droits humains pour tous,
Développer des activités ciblées pour réduire les VBG envers les femmes et les filles et veiller à ce qu’elles puissent répondre à leurs besoins de DSSR pendant la pandémie. des activités ciblées pour réduire les VBG envers les femmes et les filles et veiller à ce qu’elles puissent répondre à leurs besoins ..,Les différents chapitres de ce rapport ont démontré que la violence est un problème de santé publique pouvant affecter de façon durable le développement et le bien-être des individus, de même que les collectivités auxquelles ils appartiennent. Tout en faisant ressortir l’ampleur et les multiples conséquences de la violence sur la santé, ce rapport a également démontré qu’il est possible de mettre en place des interventions pour la prévenir.

,Les différents chapitres de ce rapport ont démontré que la violence est un problème de santé publique pouvant affecter de façon durable le développement et le bien-être des individus, de même que les collectivités auxquelles ils appartiennent. Tout en faisant ressortir l’ampleur et les multiples conséquences de la violence sur la santé, ce rapport a également démontré qu’il est possible de mettre en place des interventions pour la prévenir.